jeudi 25 février 2016
mercredi 24 février 2016
vendredi 5 février 2016
Les citations de Napoléon 1er
Napoléon Bonaparte, figure historique de l'histoire de la France, décrit comme un homme ambiguë, fascinant et qui dérange. Premier Consul puis Empereur, un génie bâtisseur qui a régné sur l'Europe tout en contribuant à la modernisation des nations.
Pour ses rôles, Napoléon aimait faire des citations, François Régis Tézé vous dévoile quelques uns de celles-ci dans cet article tiré du site vivelempereur67.skyrock.com
Les citations de Napoléon Bonaparte
En tant qu'homme de pouvoir, politique, guerre et morale, l'Empereur a écrit plusieurs citations faisant référence à sa manière de faire et qui reflètent aussi la réalité de nos jours.
- Catégorie politique et pouvoir
Selon lui "L'art de gouverner consiste à ne pas laisser vieillir les hommes dans leur poste."
"Lorsqu'un gouvernement est dépendant des banquiers pour l'argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit. L'argent n'a pas de patrie; les financiers n'ont pas de patriotisme et n'ont pas de décence; leur unique objectif est le gain"
"Ce n'est point à un incident de gouverner la politique, mais bien à la politique de gouverner les incidents."
"C'est l'indécision et l'anarchie dans les moteurs qui amènent l'anarchie et la faiblesse dans les résultats."
"La bonne politique est de faire croire aux peuples qu'ils sont libres."
- Catégorie guerre
"N'affrontez pas trop souvent le même ennemi, vous pourriez lui enseigner votre art de la guerre."
"Dans une bataille comme dans un siège, l'art consiste à présent à faire converger un grand nombre de bouches à feu sur un même point. La mêlée une fois établie, celui qui a l'adresse de faire arriver subitement et à l'insu de l'ennemi sur un de ses points une masse inopinée d'artillerie est sûr de l'emporter. Voilà quel a été mon secret et ma grande tactique."
"L'art d'être tantôt très audacieux et tantôt très prudent est l'art de réussir."
"Le grand art, c'est de changer pendant la bataille. Malheur au général qui arrive au combat avec un système."
- Catégorie société
"Le meilleur moyen de rendre tout le monde pauvre serait de décréter l'égalité des fortunes."
"Tout pour le peuple français."
"Si les crimes et les délits augmentent, c'est une preuve que la misère s'accroît, que la société est mal gouvernée. Leur diminution est la preuve du contraire."
"L'histoire est une suite de mensonges sur lesquels on est d'accord."
"Mourir n'est rien, mais vivre vaincu et sans gloire, c'est mourir tous les jours."
"Une bonne idée ne se lie pas toujours à un bon jugement, mais un jugement suppose toujours de bonnes idées."
"Un homme combattra plus pour ses intérêts que pour ses droits."
- Les citations sur sa vie
"Jeune, j'ai été révolutionnaire par ambition et par ignorance."
"Je ne tiens pas au trône : de soldat, je peux, sans me plaindre, redevenir citoyen. Mon bonheur n'est pas dans la grandeur ! j'ai voulu la France grande, puissante et avant tout heureuse. J'aime mieux quitter le trône que de signer une paix honteuse. Les Bourbons seuls peuvent s'arranger d'une paix dictée par les Cosaques."
"Je suis l'instrument du destin, celui-ci se servira de moi aussi longtemps que j'accomplirais son dessin.Puis il me brisera comme du verre."( celle-ci se présentait comme une vision de la fin de son destin après la bataille de Waterloo Tézé François Rgis).
"Je n'ai jamais fait de conquêtes qu'en me défendant.L'Europe n'a jamais cessé de combattre la France à cause de ses principes.J'étais forcé d'abattre sous peine d'être abattu."
"Une belle femme plait aux yeux, une bonne femme plait au cœur ; l'une est un bijou l'autre un trésor."
FR Tézé
mardi 26 janvier 2016
Napoléon et les femmes!
Les femmes ont toujours occupé une place importante dans l'histoire de l'humanité, notamment dans la légende napoléonienne. François Régis Tézé, vous propose de découvrir Napoléon Ier (l'homme aux cent victoires et aux cent femmes) à travers ses amours.
Napoléon entouré des femmes dès son enfance
Dans le clan Bonaparte, Napoléon a été bercé par de nombreux visages féminins au cours de sa vie. D'abord la mère, Laetitia Ramolino, de son vrai prénom d’origine italienne Letizia, de sa nourrice Camilla Carbone et de ses sœurs, notamment Elisa, l’aînée, Caroline, la plus jeune et Pauline.
Les amourettes de Napoléon
Comme tous les garçons et les adolescents, Napoléon eut aussi des amourettes enfantines, à commencer par Giacominetta en 1774, Emma, Caroline Grégoire avec laquelle il mangeait des cerises sans arrière pensée et Mlle Lauberie de Saint-Germain. Jusqu'à là il n'a fait que flirter avec ces jeunes filles sans rien de plus, en revanche son initiation commence au Palais Royal en 1787, à 18 ans lorsqu’il croise sous les fameuses galeries une jeune prostituée timide. Depuis, il a collectionné des conquêtes de femmes.
Début 1794, il fait la rencontre de Désirée Clary et se fiance en 1795 avec cette dernière dont la famille était contre, car la sœur de Désirée était déjà mariée avec frère de Napoléon, Joseph Bonaparte (François Régis T). Par ailleurs, parti pour Paris après les fiançailles, il rencontre Joséphine de Beauharnais ce qui met fin aux fiançailles.
Sa femme n'arrivant pas à avoir des enfants, Napoléon se croit stérile en se disant que celle-ci à déjà deux enfants. Mais la dame de compagnie de Joséphine Éléonore Denuelle de la Plaigneais donne à l'Empereur un fils (le conte Léon). Il eut aussi un fils (Alexandre-Florian-Joseph Colonna Walewski) avec sa maitresse polonaise, la comtesse Marie Walewska, ce qui le pousse finalement à divorcer de Joséphine pour se remarier avec Marie-Louise qui lui donne l'héritier tant voulu par Napoléon.
vendredi 22 janvier 2016
L'impératrice Joséphine, l'égerie de Napoléon
Joséphine est née le 23 juin 1763 à la Martinique au sein d'une plantation sucrière d'un lieutenant d'infanterie de marine, sous le nom de Marie-Josèphe-Rose de Tascher de la Pagerie, mais elle sera connu sous Joséphine de Beauharnais, le nom de son ancien mari.
Sa vie a été marquée par trois étapes (son mariage, la mort de son mari, sa relation avec Napoléon). François Régis Tézé vous décortique la vie de la grande impératrice de France.
Joséphine...Une femme mystérieuse
Née sous le nom Marie-Josèphe-Rose, appelée Rose durant son enfance à la Martinique. A 16 ans, ses parents décide de la marier avec le vicomte Alexandre de Beauharnais, un officier de trois ans son aîné et ami de la famille.
Dès lors, elle quitte sa terre natale pour Paris où elle devient très proche. Très vite, son mari commence à la tromper en dépensant toute sa fortune, lasse d'être trompée, Joséphine se sépare de ce dernier à l'amiable juste avant la révolution après 8 ans de vie commune et deux enfants.
Les temps troublés pour Rose
Son mari, un député aux états généraux et président de l'Assemblée nationale constituante et puis général de la première armée se fait guillotiné en 1794 juste après leur séparation. A la suite de la mort de son mari, elle échappe de peu à la condamnation à mort, pour être emprisonnée durant quelques semaines, période à laquelle elle parvient à sauver ses enfants.
A sa sortie de prison, c'est une jeune femme veuve, qui se remet peu à peu de ses problèmes et parvient à mettre en avant sa grande beauté qui lui permettra de rebondir facilement sur le plan social. Elle devient ainsi, la maîtresse du «roi» Barras (séduisante, elle a néanmoins de très mauvaises dents que les portraitistes la dessine bouches fermées). C'est en compagnie de son amant, le roi Barras, qu'elle fait la connaissance du général Bonaparte, devenu un intime de Barras suite à la répression de l'insurrection royaliste de Vendémiaire qui tombe très amoureux de celle qu'il appelle Joséphine. A 32 ans, la rencontre avec Napoléon était pour elle une occasion de se stabiliser financièrement.
Impératrice pour la vie par Napoléon
Quelques temps après leur rencontre, ils se marient civilement uniquement. Juste après le mariage, le général part pour l'armée d'Italie. Dès le départ de Napoléon, Joséphine de 7 ans son ainée commence à enchaîner les adultères. Malgré le comportement de sa femme, Napoléon devenu Empereur de France reste toujours épris de cette dernière.(François Régis TZ)
Il adopte ses deux enfants et proclame sa femme impératrice en lui offrant les plus belles demeures, notamment le château de Malmaison.
Mais en 1809, Joséphine qui ne parvient pas à donner un héritier à son mari en raison d'un âge avancé et des problèmes qu'elle a du connaitre auparavant, ils divorcent pour "Raison d’État".
Napoléon premier ne s'en remettra jamais de cette séparation, car il continua à la fréquenter à Malmaison, où elle vit entourée de ses petits enfants. L'impératrice aux plusieurs prénoms et vies a profondément marqué de façon atypique l'histoire de la France.
mercredi 20 janvier 2016
Les chasseurs à Cheval de la Garde impériale sous Napoléon 1er

Très proches de Napoléon dans toute son intimité, ces chasseurs étaient surnommés « les enfants chéris de l’Empereur ». Ce celui, les a d'ailleurs récompensé souvent des croix d’honneur ou des rentes sur des domaines. Sélectionnés et recrutés avec le plus grand soin, les chasseurs à cheval ont formé le meilleur régiment de cavalerie du monde.(source napoleon1er.fr).
Les guides...origine des chasseurs
L'idée est venu à Napoléon lorsqu'il était commandant en chef de l'armée d'Italie et qu'il a fallu être capturé par des éclaireurs autrichiens seul endormi dans une maison. Après cet incident, il décide alors la création d'une unité spéciale chargée de sa protection personnelle.
Ainsi, pour le faire il choisit 50 cavaliers courageux et disciplinés afin de former la compagnie des guides. En 1792, un décret de l'Assemblée Législative a créé les compagnies de guide à pied et à cheval dont le seul but est d’assurer la protection de l’état-major. Dès lors tous les généraux en chefs auront à leur disposition leur compagnie de guides, tel que Augereau général en chef de l’armée d’Allemagne en 1797.
L'élargissement de la compagnie des guides
Depuis sa création les effectifs de la compagnie des guides n'a cessé d'augmenter et atteint même en septembre 1796 160 hommes. Le corps est désormais divisé en 4 escadrons avec deux pièces d’artillerie à leur disposition en 1797 composées de 26 artilleurs.
Fort de ce succès, Napoléon se lance dans la création d'un corps des guides de l'armée d'Orient en Égypte qui sera lui constitué de 10 compagnies, 5 à cheval, 5 à pied. Dans la foulée, en 1799, un décret créé la Garde des Consuls, un an après il sera créé une compagnie de chasseurs à cheval.
La compagnie de chasseurs à cheval contient en son sein 1 lieutenant en premier, 1 lieutenant en second, 1 sous-lieutenant, 1 maréchal des logis chef, 2 trompettes, 8 brigadiers, 96 chasseurs, 1 maréchal-ferrant, 4 maréchaux des logis, 1 fourrier. Ce corps est composé pour la plupart d’anciens vétérans des guides d’Italie et d'Orient sous le commandement d'Eugène de Beauharnais.
Depuis cette date, de nombreux décrets successifs ont favorisé l'augmentation des effectifs des chasseurs tout en modifiant leur organisation. Ainsi, de 1800 à 1801, la compagnie est passée d'un escadron de 234 hommes à deux escadrons de deux compagnies avec la création du titre de régiment donné aux chasseurs commandés par un chef de brigade.
Certains extraits de cet article sont tirés du site napoleon1er.fr
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