mercredi 30 novembre 2016

La musique sous l'Empire par François-Régis Tézé!

Jusqu’à très récemment, beaucoup pensait l'époque napoléonienne du XIXe siècle avait peu d’intérêt pour la culture musicale. Ce qui est faux, car plusieurs institutions musicales ont connu une période prospère. 

A titre d'exemple, le nouveau Conservatoire jouissait même de l’appui de l’Empereur pour former les meilleurs instrumentistes. Pour la première fois, en 1807, les français entendent les symphonies de Beethoven (François-Régis Tézé), principalement la grande Symphonie héroïque (1813 et 1814).

Les théâtres lyriques sous l'Empire

Sous Napoléon 1er, la ville de Paris était partagée sous l'influence de trois théâtres lyriques (l’Académie impériale de musique (Opéra), l’Opéra-Comique et le Théâtre-Italien).Le Théâtre-Italien, qui était le favori de l'Empereur avait ouvert ses portes en 1801 à Paris jusqu'en 1874. 

C'est dans ce théâtre que les parisiens eurent l'opportunité d'écouter les trois grands chefs-d’œuvre de Mozart en version originale : Nozze di Figaro (1807), Così fan tutte (1809), Don Giovanni (1811).

Une chapelle comme lieu de renouveau de la musique

En 1802, Napoléon Bonaparte ouvre au moment de la restauration du culte une chapelle consulaire aux Tuileries. Cette dernière est vite devenue le centre de renouvellement de la musique religieuse en France. 

Pour plus d'informations sur l'histoire de la musique, rendez-vous sur le site archivesdefrance.culture.gouv.fr 

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